Région : Pays de Loire
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 20 €
Région : Pays de Loire
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 20 €
Editions: Ecritorium
2003
292 pages
Vous allez vivre les durs travaux de la terre au rythme des saisons dans une ferme de la campagne sarthoise sur une quinzaine d’années à partir de 1960. Découvrez, saison par saison, de la façon traditionnelle qui appartient maintenant au passé, toutes les tâches dans une ferme typique.
La majorité des lieux autour du village existe toujours : la prairie de Monfrenat, la Mère-Dieu à Villaines-la-Gonais, l’étang de Semur-en-Vallon, la côte du Taureau à Saint-Aubin-des-Coudrais, la Mare-aux-Loups à vibraye, etc. Et bien sûr, la Bretonnière, campée au nord de la commune de Boëssé-le-Sec, avec sa cabane au coin du bois du Picard, qui donne le cadre au récit.
Dans son petit boucan, Bernadette, la mémé, va vous épater avec son franc-parler. On entend presque l’accent en lisant ses répliques tellement l’auteur a veillé au respect du parler du lieu où il est né lui-même.
Vous partagerez les souffrances de Vincent, le fils Duchemin dont le père est au plus mal. Ce dernier, à l’agonie, confiera un terrible secret qui obligera son fils à se battre pour voir perdurer le bien dont il a hérité, son droit au bonheur comme il l’appelle.
Puis viendra l’amour qui guérit de tout et qui renforce le courage devant l’adversité pour faire valoir ses droits face à un gros propriétaire qui ne parle que rendements.
Région : Pays de Loire
Catégorie : Livres Pour Enfants
Prix : 15 €
Editions du Petit Pavé
Avril 2005
153 p
Deux mille ans de la vie du département de la Vendée, racontés aux enfants, comme on conte une histoire…
Sébastien profite de ses vacances. Il connaît peu la Vendée mais sous la houlette de son oncle, abbé dans le bocage, il va découvrir les secrets qui se cachent derrière les vieilles pierres. Pour satisfaire l’insatiable curiosité de son neveu, l’ecclésiastique va faire appel à la mémoire de son frère Marcel. Cet agriculteur, en charge de la ferme familiale est installé depuis de nombreuses générations dans le département. Il connaît l’histoire du moindre bosquet…
Cette fine équipe nous ouvre les portes d’une terre au passé riche et vibrant. Un livre où, de la préhistoire à nos jours, vous découvrirez les racines de la Vendée moderne.
Daniel Esnault, écrivain du terroir, est passionné par l’Histoire et la nature. En étroite relation avec Henri Papon pour les illustrations, il nous fait partager et découvrir le passé vendéen.
Région : Pays de Loire
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 20 €
Editions Cheminements
Mai 2008
283 pages
Prix littéraire 2008 des Ecrivains – ruraux
Vous allez vivre une histoire d’amour sur fond de travail dans une fonderie sarthoise, et en pleines années trente. Pour tout cela, il faut des hommes et pas des fainéants ! Edouard Duchemin en fait partie. Après le décès de ses parents, et un détour malheureux par la capitale, Edouard revient s’installer au pays, chez Paul et Bernadette qui exploitent la Bretonnière en métayage. Mal accepté par son oncle Paul Duchemin, Edouard force néanmoins son respect, par sa force de travail à l’usine et à la ferme.
Et c’est avec l’aide d’Edouard que Bernadette, la bonté même, et qui va vous épater avec son franc- parler, va affronter le propriétaire et faire vivre l’exploitation malgré les épreuves.
L’usine, la ferme, la rivière avec la cabane de pêcheurs plantée sur sa rive, fournissent le cadre du récit. L’Huisne, cet affluent de la Sarthe, une force tranquille d’où l’usine tire son énergie, va se rebeller et montrer à l’homme qu’elle lui est parfois insoumise.
Insoumise également, la belle Alexandrine se libèrera des griffes du directeur pour s’éprendre d’Edouard, cet ouvrier-paysan, dur au labeur lui aussi, qui se bat pour soutenir les Duchemin.
La folie de la guerre ne risque-t-elle pas de tout emmener sur son passage ? Edouard et Alexandrine réussiront-ils à trouver le bonheur, et l’usine pourra-t-elle encore fournir du travail aux ouvriers-paysans ? Vous le saurez en vous plongeant dans ce roman fortement documenté.
Région : Pays de Loire
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 20 €
Editions du Petit Pavé
Octobre 2011
269 p
Années trente à quarante en Touraine : une enfant d’ouvrier dans un quotidien difficile qui va s’assombrir un peu plus dans la tourmente de la guerre. Par la force des choses Annie Massé deviendra chef de famille. Elle ne peut compter que sur elle-même pour affronter toutes les corvées de la maison. Malgré tout , la solidarité des voisins existe bel et bien… Années Cinquante, le Perche sarthois, un enfant de paysan dans un monde en pleine mutation. La campagne s’industrialisait, le paysan devenait tributaire des banques, des subventions de la politique agricole commune. Le citadin se moquait, jalousait ces culs-terreux qui vivaient au grand air et bénéficiaient d’aides à tout-va.Cela ne facilitait pas les relations quand on était coincé sur la terre et qu’on enviait les camarades de la ville vivant dans le confort. Ils deviendront néanmoins des défenseurs de la nature.
Quarante ans plus tard, Daniel Esnault se souvient. Il relate la fierté du sang paysan qui coule dans ses veines et aussi, parfois, la honte de son milieu d’origine qui le repliait alors sur lui-même.
Daniel Esnault est un amoureux du terroir. Il a déjà écrit la mémoire de la ferme où il est né, La promesse dans la cabane, et la vie des ouvriers de la fonderie de son village natal, Goules noires et paysans. Ce dernier ouvrage a reçu le prix littéraire 2008 des Ecrivains-ruraux.
Défenseur de la sauvegarde du patrimoine des Anciens, sollicité pour mettre en valeur une mémoire familiale, il fait un récit vrai montrant le courage d’un enfant dans la tourmente de la Deuxième Guerre mondiale.
Région : Auvergne/Rhône-Alpes
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 18 €
Edition Ecritorium
135 pages
18€
Rattachée au domaine de la Forêt, la ferme de Troussière, près du Donjon dans l’Allier, a été exploitée en fermage depuis le XVIII e siècle. Elle devient la propriété d’Henri et Anne-Marie Petiot en 1979.
Henri a deux passions : la musique et la campagne. Dès ses seize ans, il se produit dans de nombreuses fêtes.
Grâce à un don inné dans la génétique des porcs, puis dans des bovins, il développe les meilleurs reproducteurs et récolte des prix prestigieux.
Paysan, musicien et bâtisseur, il agrandit et modernise son domaine pour le confort de sa famille mais aussi de ses animaux, tout en respectant l’environnement.
Les fils et le cousin ont repris le flambeau, l’un pour les porcs, l’autre pour bovins. Espérons que la saga se poursuive encore longtemps.
Région : Pays de Loire
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 20 €
Par Daniel Esnault et Henri Papon
Octobre 2014
370 pages. Plus de 140 illustrations
À travers le parcours de la famille Papon, c’est la vie d’un village du bocage vendéen qui est proposé au lecteur en partant de l’époque gallo-romaine. Au fil des siècles, les révolutions, les guerres ont semé la désolation mais les grandes découvertes et le progrès ont bouleversé la vie des hommes, principalement en milieu rural. Depuis 1850, cette famille a vécu de l’agriculture en passant de journalier agricole à bordier, métayer et fermier. La génération Papon du début du XXe siècle comprend vite que seule la solidarité lui permettra de relever les défis à venir. Au-delà de sa lignée, Henri Papon s’est attaché à remonter le temps pour suivre l’évolution sociale de ses ancêtres mais aussi de la Vendée et du monde agricole.
Région : Beaujolais
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 18 €
250 pages
Pierre Laurençon, né dans le Beaujolais des Pierres dorées en 1917, a une
enfance douloureuse qui va le marquer toute sa vie. Privé de son père dans
une famille au bord de la misère, souvent éloigné de sa mère qu’il chérit,
soumis à de durs travaux, et parfois même ne mangeant pas à sa faim.
En octobre 1936, pour le goût de l’aventure lié à la nécessité de progresser
par des défi s, il s’engage, trois ans au Maroc, dans le régiment du 1er
Zouaves. Cette échappée va lui apprendre la vie en communauté, découvrir
un autre mode de vie et le conforter dans l’amour pour sa promise qui doit
mûrir. La foi va le guider de plus en plus dans ses décisions.
La drôle de guerre, en septembre 39, va le ramener directement sur le
front et non comme il espère vers le village de sa fiancée. Fait prisonnier en
juin 1940, il va vivre plus de deux mois, le pire moment de sa vie dans un
« terrier » du camp de Romilly-sur-Seine où les hommes tombaient comme
des mouches. Sa liberté sera de partir dans un camp de travail en Allemagne
en accompagnant des chevaux de trait dans un wagon de chemin de fer.
L’organisation, la rigueur de l’Allemand dans son travail va lui servir de
modèle plus tard. Malgré tout, dans un camp : ou tu t’évades et tu vis, ou tu
restes esclave et meurs de maladie ! C’est ainsi que le 20 juin 1942 il s’évade
du Stalag VI de Krefeld après une préparation des plus minutieuses.
Marié plus tôt que prévu, il va travailler chez sa belle-mère avant de prendre
un métayage et enfin s’installer à Saint-Jean-des-Vignes comme propriétaire
d’une ferme en friches. Paysan, arboriculteur-vigneron, premier Président
du Bio dans le Rhône, huit enfants, 4 garçons et 4 filles vont combler son
bonheur jusqu’à la perte de son épouse Marthe en 1982.
Très attachée à la religion chrétienne, avec préméditation, Marthe sachant,
intuitivement, qu’elle allait mourir sans tarder, va le guider vers sa nouvelle
vie de religieux. Pierre va réaliser son noviciat à Châteauroux où son fi ls
prêtre en est le jeune directeur puis rejoindra comme Frère sa fille religieuse
à l’Etoile du Matin.
Il devient Frère Pierre pour être sacristain à l’Etoile du Matin et en
même temps apporte ses compétences merveilleuses en jardinage tout en
se tenant disponible, dans la plus parfaite discipline, à toutes les tâches que
nécessite une école pensionnat.
Région : Beaujolais
Catégorie : Romans de terroirs
Prix : 16 €
169 pages
Né en 1917 à Morancé dans ce qu’il est convenu d’appeler depuis les années 1960 le Beaujolais des Pierres Dorées, Pierre Laurençon a connu une enfance douloureuse qui va le marquer toute sa vie. Privé très tôt de son père et éloigné à plusieurs reprises d’une mère qu’il chérit, soumis aux durs travaux des champs, il grandit au sein d’une famille dont la situation économique confine parfois à la misère.
En octobre 1936, alors âgé de 19 ans, à la fois mû par le goût de l’aventure mais aussi par un ressort intime qui le pousse toujours à progresser au travers de nouveaux défis, il part pour trois ans au Maroc en s’engageant dans le régiment du 1er Zouaves. Cette échappée va lui apprendre la vie en communauté et lui permettre de découvrir un autre mode de vie, tandis que l’éloignement le conforte dans son amour pour sa promise qui doit mûrir. La foi, de plus en plus, va le guider dans ses décisions.
La « drôle de guerre » éclate en septembre 1939. Elle va le ramener en métropole, directement sur le front et non, comme il l’espère, vers le village de sa fiancée. Fait prisonnier en juin 1940 il vit, pendant plus de deux mois, les pires instants de sa vie dans ce qu’il désignait lui-même comme un « terrier » au camp de Romilly-sur-Seine avant de partir, dans un wagon de chemin de fer en compagnie de chevaux de trait, pour un camp de travail à Krefeld en Allemagne.
Au Stalag VI les conditions d’existence lui paraissent moins dures qu’à Romilly, mais après une préparation des plus minutieuses il s’en évade le 20 juin 1942.
De retour parmi les siens, marié plus tôt que prévu, il travaille dans un premier temps chez sa belle-mère avant de prendre un métayage pour finalement s’installer à Saint-Jean-des-Vignes comme propriétaire d’une ferme qu’il lui faut défricher.
Paysan, arboriculteur-vigneron, premier Président du Bio dans le Rhône, ses huit enfants – 4 garçons et 4 filles – le comblent de bonheur jusqu’à la perte de son épouse, Marthe, en 1982. Cette dernière, très attachée à la religion chrétienne, semble avoir pressenti sa fin et guide son époux vers la dernière étape de sa vie.
Début 1983, Pierre réalise son noviciat à Châteauroux auprès de son fils prêtre, et Frère en rejoignant sa fille religieuse à l’Étoile du Matin, tout en apportant à la communauté ses merveilleuses compétences en jardinage.
Les pieds dans la glaise et le regard scrutant les nuages, plus que nul autre, le paysan vit en symbiose avec la nature. Son travail, au rythme des saisons, l’amène à intervenir sur l’évolution des espèces animales et végétales qui l’entourent au quotidien. De leur compréhension et de leur respect, dépendront les récoltes. Car bien avant que le terme ne devienne à la mode, le paysan a toujours pratiqué une agriculture raisonnée. L’eau, la terre, le ciel et l’air, les quatre éléments définissent son terrain d’action. De leur équilibre et de leur maîtrise ou de leur soumission, dépend l’avenir de l’exploitation mais aussi de la Planète et de l’Humanité.
Interview de la présidente, Jacqueline Bellino, sur le stand d’Agridemain Ecouter l’interview
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